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DEPUIS 1899

Notre entreprise familiale se transmet de génération en génération.

C’est à la Belle époque qu’Alfred Barthélémy crée à Orléans, avec audace et passion, l’un des plus beaux commerces, fleuron d’excellence du bon goût de la cité posée à fleur de Loire.  Ce dernier voit le jour en 1899, rue de la République, à deux pas de la statue de Denis Foyatier, bronze qui représente Jeanne d’Arc apaisée, libératrice d’Orléans en 1429, œuvre installée dès 1855 sur sa place du Martroi.
Légitimement, la reproduction de cette statue devient l’image emblématique d’une entreprise ouverte sur le monde et cependant fidèlement inscrite au patrimoine local et ligérien.

Au fil du temps, thés et cafés n’ont de cesse d’être choisis aux quatre coins du globe et précautionneusement proposés aux gourmets par une Maison rare, incontournable lieu de rencontre où se pressent amoureux de saveurs délicates et délices de marque. 

A présent, Lenka Girard et son époux, Stéphane, acteurs de la cinquième génération d’une odyssée familiale sans cesse en devenir, président aux destinées d’une société sans frontières où l’art de vivre souriant, unanimement plébiscité, se veut joliment ouvert à l’appétence de chacun. 

NOTRE HISTOIRE

Lien familial et vivant patrimoine

Perspicace, Alfred Barthélémy crée en 1899 son commerce de cafés en détail verts et torréfiés Rue de la République, axe de prestige, nouvelle artère reliant la place du Martroi à la gare de chemins de fer au prix d’un chantier pharaonique. Sa boutique, où l’on torréfie le café en public, établissement situé au pied d’un bel immeuble haussmannien, est inauguré le 8 mai 1899.

Aidé par Gaston et René, ses deux fils, Alfred Barthélémy développe rapidement son entreprise et ouvre un second espace orléanais Rue Royale aux belles arcades. Au fil du temps, de nombreuses distinctions, dont une Médaille d’or de l’art culinaire et d’alimentation décernée lors de l’Exposition universelle de 1900, récompensent le travail de la société. 

Las… Du fait de la guerre de 1914-1918, père et fils sont mobilisés. Alfred, âgé de soixante ans ne lâche pourtant rien et, Garde de voie de Communication la nuit, demeure, le jour, aux commandes de l’entreprise familiale. 

 

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Beauté d'une aventure,
passion d'un attachement

De retour du front, Gaston Barthélémy prend les rênes des affaires, poursuit l’aventure, compose avec les bombardements de juin 1940 et relève avec son fils, Jacques, le défi de se remettre des blessures cruellement infligées non loin de ses boutiques à la cité.  Dans les années 50, Jacques Barthélémy continue à son tour d’innover, met en place un rayon d’épicerie de luxe qui séduit la clientèle.

En 1970, soucieux de ne pas rompre le fil, Daniel Girard, gendre de Jacques Barthélémy, entre dans l’affaire dont il prend rapidement la tête pour lui donner un nouvel essor.

En 2007, lorsqu’il décide de se retirer, Daniel confie les destinées de l’entreprise, l’une des vitrines du patrimoine orléanais, à son fils Stéphane et à son épouse, Lenka. 

Lorsqu'hier et demain
se conjuguent au présent

Dès lors, la cinquième génération, fémininement et masculinement plurielle s’emploie, à son tour, à faire rayonner les Cafés Jeanne d’Arc. Des quatre coins du monde arrivent thés, cafés et cacaos précautionneusement choisis et recueillis. Aujourd’hui, dans les trois établissements de la cité johannique, Rue de la République, Rue Royale et Rue du Faubourg Saint-Jean, se transmettent et se partagent des saveurs pures, s’inventent avec âme des recettes sensibles, se créent des mélanges harmonieux, s’élèvent des éfluves aux senteurs colorées.  

Tout naît ici avec l’art et la manière, avec le respect des saisons et du développement durable, avec le goût du partenariat régional associatif, culturel ou artistique.  Mécénat, célébration des arts plastiques et de la littérature, commémoration des grandes âmes du Val de Loire, hommage aux saisons, parachèvent une belle expression de saveurs et de nuances de qualité conjuguées sur tous les temps et à plaisir. D’hier à aujourd’hui. Parce que tout fait sens.

Lenka et Stéphane CDJ